Contact

Harcèlement scolaire : la seule manière réelle et efficace de le prévenir

Parfois, le silence crie plus fort qu’une insulte. Il crie lorsqu’un enfant entre en classe les yeux rivés au sol, souhaitant devenir invisible. Il crie lorsqu’un groupe rit tandis qu’un autre pleure en silence. Et il crie, surtout, lorsque les autres voient… et détournent le regard.

Le harcèlement ne commence pas par une bousculade. Il commence bien avant, lorsque la moquerie devient une habitude, lorsque “l’enfant différent” aux yeux du groupe (par son apparence, sa personnalité, son origine, son handicap, son orientation – n’importe quel prétexte suffit au harceleur) devient un divertissement, lorsque la cruauté se déguise en plaisanterie. Il commence lorsque nous éduquons l’esprit et oublions le cœur.

Harcèlement scolaire

Le harcèlement, une réalité qui tue

La science est claire. Une méta-analyse récente étudiant la relation entre le harcèlement scolaire et le risque de suicide chez les enfants et les adolescents (Holt et al., 2023) montre que les adolescents victimes de harcèlement ont jusqu’à six fois plus de risques de tenter de se suicider que leurs camarades. Six fois. Que ferions-nous si une maladie multipliait par six le risque de perdre un enfant ? Le harcèlement, lui, le fait. Silencieusement. Quotidiennement. Dans chaque école. Dans chaque classe.

Et il ne tue pas seulement à l’intérieur. Il tue pour de vrai. Au Royaume-Uni, une étude de cohorte portant sur plusieurs milliers de personnes a révélé que ceux qui avaient été harcelés dans leur enfance présentaient un risque de suicide à l’âge adulte deux fois plus élevé. Ce n’est pas une exagération. C’est une statistique.

Mais cet article ne parle pas de chiffres. Il parle de visages. Celui de l’enfant qui ne veut plus aller à l’école. Celui de celui qui rit pour ne pas pleurer. Celui du parent qui ne comprend pas pourquoi sa fille a changé. Celui de l’enseignante qui pressent quelque chose, mais ne sait pas comment agir. Tous font partie de cette histoire. Et, d’une certaine manière, nous en faisons tous partie.

Parce que le harcèlement n’est pas un problème à trois : le harceleur, la victime et le témoin. C’est un symptôme collectif. Du caractère que nous n’éduquons pas. De l’empathie que nous ne pratiquons pas. Du courage que nous ne valorisons pas.

Le harceleur n’est pas toujours un monstre. C’est parfois simplement un enfant qui n’a jamais appris à gérer sa frustration et qui trouve, dans l’humiliation, une manière de se sentir fort. La victime n’est pas faible : c’est quelqu’un qui se retrouve seul face à l’indifférence du groupe et qui manque d’outils pour affronter l’adversité sans sombrer. Et le témoin, ce grand oublié, est celui qui pourrait le plus changer les choses… mais qui ne le fait presque jamais. Par manque de courage moral ? D’empathie pour ressentir l’injustice d’un camarade comme la sienne ? Par peur ? Par pression ? Ou parce que personne ne lui a appris à intervenir ?

La seule véritable façon de prévenir le harcèlement scolaire

Éduquer le caractère, c’est former la conscience qui manque lorsque le professeur ne regarde pas. C’est cultiver l’empathie, la compassion, le courage de se lever quand tout le monde se tait. C’est apprendre à regarder l’autre, cet être humain qui crie en silence, espérant trouver dans un regard un signe de compréhension et d’aide. C’est enseigner que se taire face à une injustice, c’est aussi être un agresseur.

Et non, il ne suffit pas de punir le harceleur ni de protéger la victime. Il faut faire quelque chose de bien plus difficile : former de bonnes personnes. Pas seulement obéissantes. Pas seulement brillantes. Bonnes. Et cela se fait chaque jour. À la maison. En classe. Par l’exemple. Le reste suivra.

Souhaitons-nous prévenir le harcèlement ? Alors n’enseignons pas seulement un programme. Enseignons le respect. L’inclusion. La défense des plus faibles. À ne pas rire des blagues cruelles. À demander pardon. À être courageux. À aimer sans crainte.

Et lorsqu’un enfant fait cela — lorsqu’il s’approche du camarade que tout le monde ignore, lorsqu’il dit “stop” au harceleur, lorsqu’il élève la voix même en tremblant — célébrons cet acte comme s’il avait gagné une médaille olympique. Parce qu’à ce moment-là, il aura gagné bien plus : il aura sauvé une vie.

Je ne crois pas aux protocoles pour éradiquer le harcèlement scolaire. Mais je crois au caractère. Et le caractère ne s’hérite pas : il s’éduque. Ou il ne s’éduque pas. Et alors, ce qui se passe déjà continue : suicides d’adolescents, enfances brisées, générations entières apprenant à survivre… au lieu d’apprendre à vivre ensemble.

En commémorant cette journée chaque année, ne demandons pas aux enfants de parler. Écoutons-les. Formons-les. Et surtout, accompagnons-les.

Parce que là où le caractère n’est pas éduqué, le harcèlement règne en maître.
Et cela fait déjà bien trop longtemps.

Mª Asunción Rey Ballesteros
Directrice des Programmes d’Éducation du Caractère, Fondation Parentes

Se former en tant que parents : un devoir moral qui ne peut être délégué

Se former en tant que parent est essentiel. Marvin Berkowitz, l’une des plus grandes autorités mondiales en éducation du caractère, disait : « L’école peut aspirer à former le caractère, mais c’est la famille qui le façonne dès les fondations. » En effet, tandis que les établissements éducatifs s’efforcent de développer chez les enfants des vertus telles que la responsabilité, l’empathie ou l’autocontrôle, le véritable incubateur du caractère humain est le foyer. Aucun projet éducatif sérieux ne peut se passer de considérer les parents comme acteurs clés de cette mission. Mais pour que ce rôle soit efficace, il ne suffit pas d’être présent : il est nécessaire d’être formé.

18 novembre 2024

4 minutes de lecture

Se former en tant que parent n’est pas optionnel

La littérature spécialisée reconnaît depuis des décennies que la participation parentale est l’un des facteurs les plus robustes du développement moral, académique et social des enfants. Berkowitz le résume clairement : « Character education without engaging the family is incomplete and likely ineffective » (2002). Autrement dit, une éducation du caractère qui exclut les parents est destinée à un échec partiel.

Alors, comment obtenir cet engagement ? Et que signifie qu’un parent soit « formé » à l’éducation du caractère ?

Il ne s’agit pas de transformer les parents en pédagogues professionnels, mais de leur fournir des outils pour comprendre leur influence formative et agir avec intention et cohérence. Éduquer le caractère n’est pas spontané : cela exige clarté des valeurs, compétences relationnelles, capacité de modélisation, sens du but et fermeté affective.

Parents formés vs. parents improvisés : deux trajectoires qui ne sont pas neutres

Considérons deux trajectoires réelles que l’expérience éducative révèle fréquemment.

Dans le premier cas, nous voyons des familles ayant reçu une formation à l’éducation positive, à l’intelligence émotionnelle et à l’éducation aux vertus. Des parents qui savent corriger sans humilier, qui favorisent la réflexion plutôt que l’obéissance aveugle, et qui pratiquent ce qu’ils prêchent. Dans ces foyers se créent des environnements de sécurité affective, où l’enfant se sent vu, écouté et guidé avec tendresse. Le résultat à moyen et long terme : des jeunes dotés de discernement, de résilience, de responsabilité personnelle et d’ouverture au bien commun.

Dans le second cas, nous trouvons des foyers où les parents—malgré leurs bonnes intentions—improvisent constamment, réagissent dans l’urgence ou reproduisent des modèles éducatifs qu’ils n’ont jamais remis en question. L’autorité oscille entre autoritarisme et permissivité, et le climat émotionnel est imprévisible. Ces enfants développent souvent de l’insécurité, des difficultés à gérer la frustration et une moralité dépendante du contexte.

Les deux trajectoires ont des conséquences profondes, non seulement dans le cadre scolaire, mais également dans la construction de l’identité morale des enfants.

Éduquer le caractère, ce n’est pas transmettre des règles, c’est former la conscience

Comme le souligne Berkowitz, le caractère ne se résume pas à se comporter « correctement » sous supervision. « Character is about moral functioning in real life. » Cela exige plus que du contrôle : cela implique d’intérioriser des principes, de renforcer des habitudes et de développer la capacité de jugement moral. Ce processus commence à la maison, dès les premières expériences relationnelles, la régulation émotionnelle et le sens du devoir.

Ainsi, former les parents ne consiste pas seulement à leur enseigner des techniques parentales. Il s’agit de les aider à devenir des éducateurs moraux délibérés, capables de guider, soutenir et accompagner leurs enfants dans la construction d’une vie bonne. Et comme tout éducateur, ils doivent également examiner leurs convictions, corriger leurs erreurs et grandir personnellement dans le processus.

Le foyer : premier et plus influent environnement de formation du caractère

Les neurosciences ont confirmé que les premières années de la vie sont critiques pour le développement de l’architecture émotionnelle et morale de l’être humain. La manière dont un enfant apprend à attendre, écouter, perdre, partager et demander pardon laisse une empreinte qui conditionnera ses relations avec lui-même, avec les autres et avec la vérité.

Tout cela ne se fait pas automatiquement. Cela se produit lorsque des adultes significatifs modèlent des vertus, offrent des repères clairs et accompagnent avec une présence attentive.

Un père qui fait face à une injustice sans recourir à la vengeance ; une mère qui reconnaît son erreur devant son enfant et lui demande pardon ; des parents qui discutent sans perdre le respect mutuel… ils sèment quelque chose de bien plus précieux que tout discours moral : ils forment le caractère de leurs enfants par leur propre vie.

La communauté éducative a besoin de parents actifs, pas de spectateurs

La qualité de l’éducation du caractère dans les écoles dépend largement de l’existence d’un véritable partenariat durable avec les familles. Il ne s’agit pas que les parents visitent l’école occasionnellement, mais qu’ils fassent partie intégrante du projet éducatif : par leur témoignage, leur accompagnement, leur volonté d’apprendre et leur cohérence.

Les écoles qui ont le plus grand impact sur le développement intégral des élèves ne sont pas celles qui délèguent tout à la classe, mais celles qui construisent des ponts constants entre ce qui se vit à la maison et ce qui se travaille à l’école.

Cela implique que les parents assument également leur rôle de membres actifs de la communauté éducative, ouverts au dialogue, présents dans la vie scolaire et disposés à continuer d’apprendre.

Une question urgente pour les parents responsables

Éduquer le caractère, c’est former des personnes avec conscience, volonté et sens du bien. C’est la tâche la plus noble—et la plus exigeante—qui existe. Et elle ne commence pas à l’école, ne se résout pas avec la technologie et ne peut pas être sous-traitée.

Elle commence à la maison, dans le regard des parents, dans leurs gestes quotidiens, dans leur capacité à se former pour former.

Peut-être que la prochaine grande étape dans l’éducation de nos enfants n’est pas en eux, mais en nous : dans notre décision de continuer à grandir pour éduquer avec plus de profondeur et de sens.

Mª Asunción Rey Ballesteros
Directrice des Programmes d’Éducation du Caractère, Fundación Parentes

Newsletter septembre – octobre 2025 : Nouvelles de Azobé

Voici tout ce qui s’est passé à Azobé pendant les mois de septembre et octobre !

Ces deux mois ont été rythmés par de nombreuses découvertes, de nouveaux apprentissages et de beaux moments partagés. Les élèves ont retrouvé leurs professeurs, renforcé leurs amitiés et vécu une rentrée pleine d’énergie et d’enthousiasme.

Entre projets pédagogiques, ateliers créatifs, sorties éducatives et événements communautaires, Azobé a vibré au rythme de la curiosité et de la joie d’apprendre.
Merci à toutes les familles et à toute l’équipe éducative pour leur implication et leur engagement au quotidien.

Découvrez dans cet article les moments forts de ces dernières semaines, les projets à venir et un aperçu de la vie quotidienne à Azobé.
Chaque mois à Azobé est une nouvelle occasion de grandir, d’explorer et de partager de belles réussites !

Célébrer les enseignant·es : piliers de l’éducation et de l’avenir

Chez nous à EFEDI, nous affirmons chaque jour que l’éducation va bien au-delà des livres et des salles de classe : il s’agit de former des personnes intègres, responsables et engagées dans leur environnement. Et sur ce chemin, les enseignant·es sont le cœur de notre mission éducative. Leur dévouement, leur patience et leur passion pour l’enseignement permettent à nos élèves de grandir non seulement académiquement, mais aussi en tant que citoyen·nes accompli·es. Le samedi 4 octobre 2025, nos écoles Azobé et Tiama se sont remplies de joie et de reconnaissance lors de la célébration de la Journée des enseignant·es. La Dre Esther Tallah, Présidente du Conseil d’Administration d’EFEDI, a présidé l’événement et a souligné dans son discours l’importance des enseignant·es comme modèles de vie et d’excellence. « Être enseignant·e chez EFEDI signifie incarner une vision. Cela signifie porter des valeurs, en classe, dans le bus scolaire, dans la société et dans le cœur de nos enfants », a affirmé la Dre Tallah, soulignant que l’éducation commence bien avant l’entrée en classe, dès les premiers trajets dans le bus scolaire. Dans Azobé et Tiama, l’éducation allie tradition et modernité. Chaque enseignant·e est un constructeur de conscience, un guide qui accompagne les enfants venus de différents quartiers de Yaoundé, apportant non seulement des connaissances, mais aussi des valeurs d’intégrité, de responsabilité et de respect. Quant à Tiama Maternelle, notre complexe préscolaire, c’est un espace où la tendresse se combine à une discipline affectueuse, et chaque enseignant·e a pour mission de préserver la magie du premier apprentissage, du premier rêve et de la première valeur. Reconnaître le travail des enseignant·es, c’est reconnaître que chaque enfant mérite une éducation de qualité, un guide fiable et un exemple de vie. À EFEDI, nous célébrons nos enseignant·es non seulement lors de la Journée des enseignant·es, mais chaque jour, car grâce à eux, nos élèves ont l’opportunité de grandir, de rêver et d’atteindre leur plein potentiel. Cette reconnaissance nous rappelle également l’importance de la famille et de l’école travaillant main dans la main, formant une équipe qui guide les élèves dans leur développement global. Chaque enseignant·e est, sans aucun doute, un phare qui éclaire le chemin vers un avenir meilleur, et chez EFEDI, nous sommes fiers de compter sur des professionnel·les qui inspirent, éduquent et transforment des vies. Bonne Journée des enseignant·es à tous nos enseignant·es !

Newsletter Mai 2025 : Ce qui s’est passé à Azobé !

Dans cette édition de mai, nous revenons sur les moments marquants vécus par nos élèves : projets pédagogiques, sorties, célébrations et initiatives familiales.

À Azobé, nous cultivons une vie scolaire riche et collaborative, avec des élèves engagés et des familles impliquées.

Découvrez les Tarifs Scolaires 2025-2026

À Azobé et Tiama, nous sommes engagés à offrir une éducation de qualité qui favorise le développement intégral de nos élèves. Nous savons combien il est important pour les familles de planifier l’année scolaire, c’est pourquoi nous mettons à leur disposition toutes les informations relatives aux tarifs et aux prix pour l’année scolaire 2025-2026.

Vous trouverez ci-dessous les détails de nos options d’inscription ainsi que les tarifs correspondants pour l’École Azobé. Notre objectif est de garantir une éducation d’excellence tout en maintenant des frais de scolarité compétitifs et transparents, afin de préserver l’équilibre financier des familles.

Communiqué Officiel : Amélioration du Transport Scolaire à AZOBÉ et TIAMA

À l’école AZOBÉ de Yaoundé, nous nous engageons à offrir la meilleure expérience possible à nos élèves et à leurs familles. Suite aux précieux retours des parents concernant le transport scolaire, nous sommes heureux d’annoncer une décision importante prise par le Conseil d’Administration d’EFEDI.

Dans ce nouveau communiqué officiel, EFEDI détaille l’extension de sa flotte de bus scolaires, affirmant ainsi son engagement en faveur de la sécurité, de l’accessibilité et d’un service de haute qualité. À partir du 17 mars 2025, deux nouveaux bus seront mis en service pour optimiser le transport des élèves de TIAMA et AZOBÉ.

Lisez le communiqué officiel ci-dessous pour en savoir plus sur cette initiative.

Tiama et Azobé rejoignent PARENTES International Educational Network

Après une période de collaboration dans divers domaines, les écoles Tiama et Azobé de l’Association Familiale EFEDI au Cameroun rejoignent PARENTES International Educational Network, qui compte déjà 15 établissements scolaires dans le monde entier.

PARENTES International Educational Network est intégré à la Fondation Parentes, une organisation espagnole basée à Madrid, créée pour promouvoir des projets éducatifs, scientifiques et culturels, avec pour objectif de contribuer à l’éducation des enfants et des jeunes. La Fondation Parentes est soutenue par les institutions du Groupe PROEDUCA, leaders internationaux dans le domaine de l’éducation. Actuellement, la Fondation collabore avec différentes entités éducatives en Europe, en Amérique et en Afrique.

Les liens entre Fondation Parentes et Tiama et Azobé ont commencé à se nouer en 2021-2022 avec la participation des enseignants de ces institutions aux cours de Bonnes Pratiques Pédagogiques. Ces cours ont facilité des améliorations dans leur formation dans des domaines tels que la planification académique, les interactions avec les familles, le mentorat des élèves, les méthodes d’évaluation, et plus encore. Dans le cadre du programme, certains enseignants ont eu l’occasion de se former à Madrid et de visiter plusieurs écoles de la ville.

En plus des formations pour les enseignants, la Fondation Parentes a coordonné des séjours de bénévolat internationaux, où d’anciens élèves des écoles Retamar et La Farga ont contribué à préparer les bases du « Projet OLOA », marquant le début de la construction des nouveaux campus pour les écoles Tiama et Azobé. On estime qu’à la rentrée scolaire prochaine, les premiers bâtiments de ces écoles seront disponibles, amorçant la transition vers ce nouveau site près de l’aéroport de Yaoundé.

L’avenir de Tiama et Azobé

Les nouveaux bâtiments amélioreront non seulement les conditions des salles de classe, mais aussi augmenteront le nombre d’espaces disponibles avec deux lignes de l’école primaire, s’ouvrant progressivement au secondaire et au lycée. L’inclusion de Tiama et Azobé dans PARENTES International Educational Network n’affectera pas la structure de ces écoles ni ne impliquera de changements dans le personnel enseignant. Cependant, trois membres de la Fondation ont rejoint le conseil d’EFEDI pour conseiller la direction et optimiser le fonctionnement des écoles, garantissant ainsi que le plus grand nombre possible d’élèves puisse bénéficier d’une éducation de qualité pour un avenir meilleur.

La proposition éducative de Tiama et Azobé se concentre sur l’offre d’une éducation complète et de qualité qui favorise à la fois l’excellence académique et humaine, conformément aux principes de la doctrine catholique. PARENTES International Educational Network fournira le soutien nécessaire à ces écoles pour poursuivre leur mission tout en bénéficiant pleinement des avantages d’être membre du réseau éducatif. Cela inclut la possibilité d’échanger des expériences avec d’autres établissements éducatifs à travers le monde, d’accéder à des programmes de formation uniques pour les élèves et le personnel enseignant, des services de conseil, et la garantie du soutien de la Fondation Parentes.

Questions fréquemment posées

Qu'est-ce qui nous identifie à l'école Azobé?

Nous sommes une école qui vise l’excellence académique, mais aussi l’excellence humaine, car une bonne personne est généralement un bon professionnel. C’est pourquoi le respect des autres, de soi-même, et du travail bien fait sont des valeurs humaines et chrétiennes que nous inculquons à nos élèves en collaboration avec leurs parents. Nous avons pour objectif ambitieux de servir la société, les familles et les étudiants.

Que signifie le fait que l'école Azobé soit membre du réseau Parentes International Education Network?

Les écoles du Parentes International Education Network promeuvent des valeurs morales et culturelles liées au travail bien fait, au désir de s’améliorer et de se dépasser, au respect, à la promotion de la liberté et de la responsabilité personnelle. De même, des valeurs telles que la loyauté, l’honnêteté, la justice, la solidarité et la paix sont encouragées. Tout cela repose sur une vision chrétienne de la personne et du monde.

Demander des informations

Nos portes vous sont ouvertes : nous souhaitons vous rencontrer, vous faire découvrir nos installations et vous présenter notre projet éducatif. Pour cela, remplissez le formulaire et planifiez une visite ou posez-nous toutes les questions que vous souhaitez.

This site is registered on wpml.org as a development site. Switch to a production site key to remove this banner.